Par Anne Decker, Maître de conférences en Géographie et Aménagement, chercheure associée au laboratoire LOTERR.
La marche a longtemps été un mode de déplacement simple et évident, jusqu’à l’irruption de technologies offrant une mobilité plus rapide et confortable. Un temps méprisée, délaissée aux « sans voiture », la marche au quotidien retrouve quelques lettres de noblesse, mais ce désamour a laissé des traces dans la société comme dans la ville.
Alors qui marche aujourd’hui, et pourquoi ? Et pour quelles raisons, au contraire, ne marche-t-on pas ? Ici, là, ou ailleurs ?